« Je pose l'hypothèse que c'est notre désaccord avec le monde contemporain qui en pulvérise la perception; il n'y aurait pas de crise de l'environnement mais une crise de notre position par rapport à lui. Ce ne serait pas les paysages qui se désagrègeraient mais notre désir d'y être inclus, d'être de ce monde. (...) Pour éviter que cette réalité opère et se réalise en nous, qu'elle y fasse émergence, nous préfèrerions la disloquer, rompre et perdre le fil des choses qui la tissent. »
Corajoud, Michel. (1982). «Le paysage c'est l'endroit où le ciel et la terre se touchent», La mort du paysage?, Edition Champ Vallon, p.50
Corajoud, Michel. (1982). «Le paysage c'est l'endroit où le ciel et la terre se touchent», La mort du paysage?, Edition Champ Vallon, p.50
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